Pour le conseiller national (PS/VD), la décision, notamment au sein du Parti socialiste, de collaborer avec les autres formations sur la question énergétique après Fukushima représente le point fondamental qui a permis à aboutir à une victoire du oui.
Une coalition "solide" était nécessaire, analyse Roger Nordmann, ainsi qu'un projet "global et crédible" fait de concessions, avec un plan de remplacement de l'énergie nucléaire.